Par une décision à mentionner au tables du rec., le Conseil d’Etat vient de poser que la jonction […]
Notification
Réponse logique du Conseil d’Etat : NON bien sûr. Il résulte du paragraphe 1 de l’article 33 du […]
Encore plus tard qu’à l’accoutumée (c’est usuellement en juin…), c’est au JO de ce 19 juillet qu’a été […]
Entre la défense de la légalité des actes (et donc la sanction des actes illégaux), ou des droits […]
Recueil des actes administratifs, registre des arrêtés, registre des délibérations, comptes rendus de séance, PV de séance, affichage, notification… c’est […]
Article écrit par Julie LAHITEAU, avocate au sein du cabinet Landot & associés DGD tacite : le TA de Marseille précise les exigences […]
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Le délai raisonnable de recours issu de la jurisprudence Czabaj ne s’applique pas à la contestation par un […]
Le code a des règles strictes de notifications aux avocats de l’existence d’un appel. Mais la notification peut […]
Le Conseil d’Etat vient de poser que le délai raisonnable d’un an, de recours, au-delà duquel il est impossible d’exercer un recours juridictionnel est opposable aux recours dirigés contre les décisions d’espèce, à savoir les décisions « non réglementaires qui ne présentent pas le caractère de décisions individuelles ».
Mais la Haute Assemblée a prévu que cette règle de l’arrêt CZABAJ (délai de recours indicatif d’un an lorsqu’il y a eu vice dans les modes de notification des voies et/ou délais de recours contre cet acte, donc) s’applique « lorsque la contestation émane des destinataires de ces décisions à l’égard desquels une notification est requise pour déclencher le délai de recours. »
Cette décision portant en l’espèce sur une question de transfert dans le domaine public communal, sera publiée en intégral au Recueil Lebon. Le Conseil d’Etat, en sus, y précise le contrôle (limité) exercé par le juge de cassation sur l’appréciation, par le juge du fond, des modulations à apporter, ou non, à ce délai indicatif d’un an.
Détaillons cette importante et nouvelle évolution du principe de sécurité juridique, au détriment du principe de légalité.
Expulsion de logement par l’administration en référé : le juge peut notifier à une autre adresse que celle […]
Le Conseil d’Etat a rendu une décision, à publier aux tables du rec., sur le régime contentieux des « aides d’Etat » données par l’Etat ou les collectivités aux entreprises avec un vrai mode d’emploi, détaillé, de l’office du juge à chaque étape.
Le cas échéant, une décision administrative doit-elle, pour être valable, préciser « chez M. ou Mme » ? si du moins l’administré a bien précisé cette mention dans ses demandes ?
OUI répond logiquement une Cour administrative d’appel (CAA Lyon, 6ème chambre – N° 19LY03314 – 23 janvier 2020 – C).
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