Voici deux exemples, un qui remonte à il y a quelques années et l’autre qui date d’il y a quelques jours, et qui démontrent que pour bâtir un arrêté de police en matière d’accès ou d’activités sur les plages, mieux vaut d’abord justifier du caractère proportionné des mesures que l’on veut adopter, et donc en tout premier constituer un solide dossier sur la réalité des difficultés à obvier.
Sinon, la moindre vaguelette contentieuse fera s’écrouler l’arrêté de police tel le moins solide des châteaux de sable. Sous le rire des usagers de la plage.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.