Evangelia Karamitrou et Eric Landot présentent, en 15 mn 56, les grandes règles et les petites astuces à […]
Domaine public
Nouvelle diffusion 3 mois après la lecture de ces arrêts importants Au lendemain des arrêts du 2 décembre 2022, quand et […]
Lorsqu’un projet de construction porte sur un élément classé dans le domaine public, le dossier de demande de […]
Pour un juriste, une stratégie immobilière publique peut imposer de prendre en compte des régimes juridiques fort variés […]
Le domaine public est en général immobilier. Mais il porte parfois sur des biens meubles, et ce au terme […]
Par un arrêt à publier au Bulletin, la Cour de cassation vient de poser qu’il résulte de l’article […]
Quelle est l’indemnisation due au détenteur de bonne foi d’un bien appartenant au domaine public et dont la […]
Une mise en demeure de remettre en état le domaine public maritime naturel, en amont de toute procédure […]
Par une décision n° 457886 à publier aux tables du rec., hier mardi 31 mai 2022, le Conseil […]
C’est un vrai petit coin de paradis qui a vu son futur placé entre les mains du Conseil […]
En 9 mn 30, Me Eric Landot revient sur une jurisprudence de 2021 qui pose que l’on ne […]
C’est au préfet qu’il incombe de constater les limites du rivages et de délimiter les frontières entre domaine […]
Un chemin rural est une voirie qui relève du domaine privé de la commune mais dont le régime […]
Le domaine public est inaliénable et imprescriptible. Certes. Mais quand, violant ce principe, une commune procède à un […]
Un litige résultait du refus d’un établissement public industriel et commercial (EPIC), en l’espèce un office de tourisme […]
Le juge administratif français est compétent pour le domaine public français… même à l’étranger et même si un […]
Au JO de ce matin, se trouve l’ordonnance n° 2021-444 du 14 avril 2021 (NOR : TRAT2101787R) : […]
Quand des accessoires de plage glissent-ils vers un statut irrégulier d’occupation domaniale ? A cette question, le juge […]
Vendredi dernier, le Conseil d’Etat a rendu une décision conséquente, à publier aux tables du rec., en matière […]
En droit, il importe de ne pas confondre : les infractions au code de la route ; les […]
L’illégalité éventuelle d’un acte de délimitation du domaine public fluvial ne fragilise pas, par exception d’illégalité, la légalité […]
Nous vous l’annoncions il y a trois semaines : FPS : il n’est pas constitutionnel de devoir (sans limite) […]
Le Conseil d’Etat vient de poser que le délai raisonnable d’un an, de recours, au-delà duquel il est impossible d’exercer un recours juridictionnel est opposable aux recours dirigés contre les décisions d’espèce, à savoir les décisions « non réglementaires qui ne présentent pas le caractère de décisions individuelles ».
Mais la Haute Assemblée a prévu que cette règle de l’arrêt CZABAJ (délai de recours indicatif d’un an lorsqu’il y a eu vice dans les modes de notification des voies et/ou délais de recours contre cet acte, donc) s’applique « lorsque la contestation émane des destinataires de ces décisions à l’égard desquels une notification est requise pour déclencher le délai de recours. »
Cette décision portant en l’espèce sur une question de transfert dans le domaine public communal, sera publiée en intégral au Recueil Lebon. Le Conseil d’Etat, en sus, y précise le contrôle (limité) exercé par le juge de cassation sur l’appréciation, par le juge du fond, des modulations à apporter, ou non, à ce délai indicatif d’un an.
Détaillons cette importante et nouvelle évolution du principe de sécurité juridique, au détriment du principe de légalité.
Vous n’avez pas passé tout l’été le nez sur vos actualités juridiques ? Ce n’est pas grave car […]
Le Conseil d’Etat vient de rendre une importante décision (qui est pour notre cabinet une agréable victoire). Par […]
A été, ce matin, publié le décret n° 2020-1027 du 11 août 2020 relatif aux autorisations de travaux […]
Le juge administratif est bien compétent pour connaître des contrats des assemblées parlementaires (les marchés publics, ce qui […]
Hier, 9 juin 2020, le Conseil d’Etat a distingué (très logiquement d’ailleurs) entre les cas où un refus […]
- d’une part, de concessions
- et, d’autre part, de l’aménagement, l’organisation et la gestion des zones de mouillages et d’équipements légers.
A cet égard, ce texte :
A partir de quand une personnes publique peut-elle percevoir une astreinte, quand un occupant sans titre n’exécute pas […]
Selon le Conseil d’État, il résulte des articles L. 45-9, L. 46, R. 20-51 et R. 20-52 du code des postes et communications électroniques que :
- si les exploitants de réseaux ouverts au public bénéficient d’un droit de passage sur le domaine public routier et dans les réseaux publics relevant du domaine public routier et non routier, à l’exception des réseaux et infrastructures de communications électroniques,
- les autorités gestionnaires du domaine public non routier ont seulement la faculté, et non l’obligation, d’y autoriser l’installation des équipements des opérateurs de communications électroniques, dans le respect des prérogatives qu’elles tiennent de leur qualité de gestionnaire de ce domaine.
Par conséquent, un gestionnaire de domaine public non routier, tel qu’une personne publique en charge de l’eau potable en l’espèce, a le droit de refuser le maintien sur site, au delà de l’échéance de la précédente convention d’occupation domaniale, d’antennes relais sur un réservoir d’eau potable (château d’eau)… et ce alors même que le motif de ce refus ne serait pas tiré de l’incompatibilité de cette occupation avec l’affectation de ces dépendances domaniales ou avec les capacités disponibles, mais de la volonté de conclure de nouvelles conventions d’occupation tenant compte des conditions techniques et financières nouvelles prévues par délibération.
Un bien peut-il être automatiquement sorti du domaine public du seul fait de l’entrée en vigueur du Code général des propriétés des personnes publiques (CG3P) ? Réponse NON.
Si un bien relevait du domaine public avant l’entrée en vigueur de ce code en 2006… alors ce bien a continué de relever de la domanialité publique nonobstant le fait que les critères requis à cet effet n’étaient plus constitués, a tranché le Tribunal des conflits.
Depuis 1913, la règle semble claire : l’administration ne peut saisir le juge pour lui demander de prendre […]
Par de nombreux articles sur notre blog, nous tentons, tous les jours, de recenser et d’expliquer les nombreuses […]
Il y a-t-il compatibilité entre le régime des associations syndicales de propriétaires avec celui de la domanialité publique ?
A cette question plutôt simple, le Conseil d’Etat, très logiquement, par un arrêt à publier en intégral au recueil Lebon, apporté une réponse complexe :
- OUI avant l’entrée en vigueur de l’ordonnance du 1er juillet 2014
- NON depuis
Depuis quelques mois, les services du domaine (DNID ; ex France Domaine) de la direction générale des Finances […]
Par un arrêt à publier aux tables du rec., le Conseil d’Etat vient de poser qu’en cas de délégation de la gestion d’un service public exploité au moyen d’un réseau public relevant du domaine public, il n’y a PAS de compétence du concessionnaire pour autoriser l’occupation de ce réseau par les exploitants de réseaux ouverts au public et pour fixer et percevoir les redevances SAUF stipulation contraire de la convention de délégation.
Le Conseil d’Etat est venu préciser la consistance du domaine privé par réflexion à la délimitation du domaine […]
Déclassement du domaine public et cession de biens sportifs : le juge censure une décision visant, en fait, […]
Ski nordique = domaine public. Ski de fond = domaine privé. Et, sur le fond, chacun peut de […]
Face à un ouvrage public supposément « mal planté » sur domaine privé ou public, se posent plusieurs […]
NB ce qui suit reprend largement le communiqué du TA d’Amiens, car nous n’avons pas vu qu’il soit pertinent d’y ajouter […]
Une association vend un bien à une commune sous réserve de continuer à en avoir l’usage. Ce bien est-il alors incorporé au domaine public ? Avec quelles conséquences, alors, sur ladite réserve ?
La Cour administrative d’appel de Lyon a été amenée à examiner un recours dirigé contre un permis de […]
Ne pas intervenir pour exécuter une décision de justice, par exemple en cas d’occupation illégale du domaine public portuaire, peut entraîner la responsabilité de l’Etat même sans faute (ce qui n’est pas nouveau) même au terme d’une inaction de 24h (ce qui est un délai suffisamment bref pour être souligné).
Ah Marcel Campion (si si le type de la grande roue à Paris)… Le champion de l’outrance devenu […]
Article écrit par Julie Lahiteau, avocat collaborateur Le déclassement-cession des voies du domaine public routier, n’implique pas systématiquement […]
C’est un important arrêt en matière de gestion de fait par les recettes que vient de rendre le […]
Lors de l’adoption du Code général des propriétés des personnes publiques, l’immense majorité des commentateurs a cru qu’était […]
Domaine public sous terrain privé, eaux pluviales causant des dommages imputés à la commune mais entraînant la responsabilité […]
MISE À JOUR IMPORTANTE Quand Tarn-et-Garonne débouche le port de Marseille… Dans l’affaire du Musée subaquatique […]
Par un jugement du 23 avril 2019, identifié en premier sur FilDroitPublic, le Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a […]
Les communes sont responsables des églises bâties et utilisées en tant qu’édifice religieux avant 1905 (hors Alsace et […]
Deux tribunaux administratifs rendent des décisions contraires sur un point qui semblait clair en droit : le recours […]
Un arrêt du Conseil d’Etat en date du 7 mars 2019 nous procure de nombreux enseignements en termes […]
Le Conseil d’Etat a jugé hier, par un arrêt à publier au recueil Lebon : 1/ que le […]
Le 10 juillet 2017, nous vous narrions une affaire devant le TA qui vient de connaître un rebondissement […]
Accès des VTC à un port : la croisière s’amuse et les taxis rigolent. Les VTC moins… car […]
Une dalle de béton recouvrant la voûte d’un tunnel, mais inutile pour celui-ci… relève du domaine privé nous […]
Vendredi dernier le Conseil constitutionnel confirmait que sont bien conformes à la Constitution (y compris donc aux articles […]
Depuis 1913, la règle semble claire : l’administration ne peut saisir le juge pour lui demander de prendre […]
Le recours en reprise des relations contractuelles s’applique aux résiliations, mais pas aux non renouvellements de contrats notifiés dans les délais.
Sept ans après l’arrêt « Béziers II » créant le recours en résiliation contractuelle, voici que cette procédure atteint son âge de raison. Et que donc une limite est tracée : il n’y a recours en reprise des relations que s’il y a eu interruption brutale de ces relations. Et non un terme normal.
Autrement posé, le Recours Béziers II ne s’applique qu’en cas d’interruption du contrat. Pas en cas de non renouvellement.
Ou, en encore plus court, Pas de « contractus interruptus »… pas de Béziers (Baetera) secondus.
En 1789 puis 1790 (décret de l’Assemblée constituante du 2 novembre 1789 puis, surtout, article 8 du décret […]
Le château de Chambord sert à bien des captations d’image depuis fort longtemps. En 2010 par exemple, la […]
Si une association occupe irrégulièrement le domaine public, la première procédure qui vient à l’esprit des praticiens est […]
La nouvelle instruction interministérielle portant simplification réglementaire de l’organisation des épreuves sportives et clarification des conditions d’indemnisation des […]
Les jurisprudences illustrant l’application de la théorie de la domanialité publique par accessoire des biens immobiliers des personnes […]
Wikimédia France et La Quadrature du Net réclamaient au Conseil constitutionnel, via une QPC, de reconnaître la gratuité […]
Un travail effectué sur un dock fluvial flottant est-il un travail effectué sur le domaine public fluvial devant, […]
Une instruction interministérielle a été diffusée, « visant à donner une nouvelle impulsion à la résorption des campements illicites […]
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