Un fresque qui, trop vite, perd ses couleurs… c’est une responsabilité contractuelle qui se ravive

TA de Limoges, photographie de Me Yann Landot, déc. 2022.

Le tribunal administratif de Limoges a, dans une intéressante affaire, retenu la responsabilité contractuelle d’une entreprise qui avait réalisé une fresque peinte sur un château d’eau (« réservoir ») et l’a condamnée à verser à la commune maître d’ouvrage une somme correspondant au montant des travaux à réaliser pour préserver l’œuvre.

Cette affaire intéressera en pratique en raison :

  • de la requalification des exigences contractuelles en sorte de garantie sur dix ans
  • de la qualification en l’espèce du ternissement normal (ce qui pourra servir pour d’autres affaires)
  • de la réticence du juge à admettre en l’espèce une faute du maître d’ouvrage

Voir :

 

TA de Limoges, photographie de Me Yann Landot, déc. 2022.

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