Le Premier Ministre vient d’annoncer aux ministères qu’il n’y aura pas, au 1er semestre, de marge de manoeuvre sur les fractions de crédits ministériels mis en réserve, sauf urgence nouvelle. Dans le passé, il a pu arriver que ces sommes soient mobilisées avant l’élection présidentielle par commodité, au risque d’imposer (si cela se combine avec trop d’optimisme initial ou avec une dégradation de certains indicateurs) une loi de finances rectificative douloureuse au lendemain de l’élection présidentielle.

Voici cette lettre / circulaire 6321/SG en date du 3 janvier 2022 :