La féminisation des noms de fonctions était la règle et c’est progressivement à compter de la Renaissance que cela s’est perdu.
Dans son rôle de gardien des traditions, l’Académie Française vient de redécouvrir à la fois la tradition la plus ancienne de notre pays et son évolution contemporaine avec le rapport que voici sur la féminisation des noms de fonctions :
Voir aussi la circulaire en ce sens du Premier Ministre :
… et l’arrêt du Conseil d’Etat refusant la requête en annulation de ladite circulaire :