Le ministre de l’Intérieur, lors d’une audition au Sénat, le 25 octobre a annoncé que la sécurisation des sites olympiques impliquerait :
« le report ou l’annulation de tous les événements en France qui demandent des unités de force mobile ou qui demandent la présence très forte de nombre de policiers » tels que les festivals ou événements sportifs, et « qu’il n’y aura pas de CRS des plages cette année-là ».
Cela a naturellement suscité une vive inquiétude des communes et des intercommunalités entraînant une demande de travail en concertation par l’AMF à la Première Ministre.