Des produits biocides (y compris des huiles essentielles) peuvent être privés de leur oxygène publicitaire à destination du grand public, au delà des minima en droit de l’UE, si c’est au nom de la santé et de l’environnement. Il en va autrement s’agissant des mentions à destination des professionnels qui, elles, ne peuvent être plus dures que ce qu’impose le droit de l’Union.
Source :
Voir le très complet communiqué de la CJUE : https://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2023-01/cp230013fr.pdf
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