Le CHLORDÉCONE et quelques autres produits ont pourri la vie sanitaire des Antilles françaises. Une commission d’enquête parlementaire est désignée… et une audition révèlent que 17 années d’archives datées de 1972 à 1989 auraient « disparu » du ministère de l’Agriculture. C’est juste énorme et les élus de ces outre-mers ont vivement réagi. Ce produit aura donc décidément tout détruit sur son passage… archives comprises… et peut-être même un peu de morale.
Voir une narration précise de l’histoire par Marc Laimé :