Notre droit funéraire a été considérablement modifié, pour des raisons épidémiologiques, les 27 mars, 28 mars et 1er avril derniers. Voir :
Mais cela conduit à des difficultés sur le terrain (diversité dans les pratiques) et à des ruptures douloureuses au regard de pratiques qui aidaient au travail de deuil.
D’où cet avis, en auto saisine semble-t-il, du Comité consultatif national d’éthique en date du 17 avril 2020 :
Voir aussi :
- Funéraire : la mort, ce week-end, n’attendra pas (d’où l’invitation de la DCGL à prévoir une astreinte…)
- Certificat de décès : de nouvelles souplesses, qui ne sont pas toutes limitées à la crise sanitaire actuelle
- L’INSERM en appelle à la généralisation des certificats de décès électroniques pour mieux compter les victimes du Covid-19
Crédits photographiques : DDP on Unsplash
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