Merci à M. Scordia d’Acteurs publics d’avoir trouvé cette perle, où la CRC Bretagne note que :
« La chambre observe que l’office prend le risque d’une discrimination à l’embauche en imposant la maîtrise du breton pour l’ensemble de ses recrutements »…
… s’agissant de… l’Office public de la langue bretonne.
Ma-gni-fi-que.
Oui bien sûr on comprend que les magistrats de la CRC n’aient pas pu faire autrement que de le relever.
A tout le moins eussent-ils pu éviter les rieurs en invitant juste, par exemple, ledit office à mieux sécuriser leurs recrutements sur ce point.
Surtout, en droit, un employeur public a tout de même quelques marges de manoeuvre pour choisir ceux des candidats qui répondent à ses besoins spécifiques (la langue nationale et administrative devant rester le français bien évidemment), ce qui rend cette phrase à tout le moins excessive en sus d’attirer les moqueurs.
Nag a fent…
(traduction en anglais LOL ; traduction en français mort-de-rire [MDR] ; traduction en français de mon enfance à Brest : « Mort de rire que c’est, quoi »).
Voir la page 28 de ce rapport :