Notre blog a traité en premier instance comme en appel du référé liberté engagé, d’abord gagné puis perdu, contre la décision d’une petite commune d’inonder son territoire de placards célébrant la femme dans toutes ses dimensions, y compris (de manière limitée en nombre, certes) avec des dérapages sur les modèles de pin-ups et autres stéréotypes à tout le moins fort contestables.
Voici ces décisions et nos commentaires à ce sujet :
- Une commune peut-elle célébrer les Femmes… à grand renfort d’images de pin-ups ?
- Une commune peut-elle célébrer les Femmes… à grand renfort d’images de pin-ups ? VOICI LA RÉPONSE, A L’INSTANT, APPORTÉE PAR LE CONSEIL D’ETAT QUI INVALIDE LA POSITION DU TA DE STRASBOURG !
Ces quelques lignes de blog nous attirèrent quelques sympathies, des remarques courtoises approbatrices ou désapprobatrices, mais constructives… et quelques foudres aussi, moins constructives, moins construites aussi.
Alors reprenons le dossier, avec quelques éléments supplémentaires, à titre comparatifs notamment, car certains protagonistes de l’affaire contestent en droit la présence d’une liberté, au sens du référé liberté, en l’espèce, ce qui forme un débat juridique instructif.
Tel est l’objet de cet article, intitulé « Le Conseil d’Etat et la pin-up : un ratage ? » (N° Lexbase : N0242BXA), au risque d’émettre un point de vue critique sur une décision du Conseil d’Etat en dépit de la révérence que nous vouons tous à cette noble institution. Voici le texte de cet article sur le site LEXBASE (voir ici) avec l’aimable autorisation dudit site LEXBASE :
CE pin up article Lexbase EL
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